• Parce que

     

     

    Peut être un dessin

     

    Quelques hommes épris maladivement
    De ce pouvoir à l’odeur écoeurante,
    Qu’ils étreignent si goulûment
     Telle une sombre passion dévorante,
    Allant jusqu’à cette obsession incurable
    Dicté sur mesure par l’égo incommensurable.
    Que la sirène à l’accord lugubre expire
    Afin de mettre le monde à l’abri du pire,
    Déjà, la neige fraîche a maquillé la cendre
    Encore un peu tiède, à l’épreuve des terres,
    Étirant naïvement sa couleur tendre
    Sur la vaste étendue mortuaire.
    Les gémissements glaciaux, comme hier
    Se confondent avec la complainte de la bise
    Des fils, des frères, des époux, gisent
    Enserrés chaudement de mots et de prières,
    Un cri de douleur, un appel solennel amer
    À ostraciser le mal, les libérer de la guerre!
    « La chaleurEt un matin on se lève. »

  • Commentaires

    1
    Lundi 17 Juin à 21:40

    bonsoir Marie , superbe ton texte poétique  j'aime  belle semaine A +  bisous 

    2
    Vendredi 21 Juin à 08:08

    Bonjour chère Marie,

    Superbe poème. Ce serait bien qu'il y ait la paix partout dans le monde !

    Passes une bonne journée et un agréable week-end

    Gros bisous

    Florence

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