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Parce que
Quelques hommes épris maladivementDe ce pouvoir à l’odeur écoeurante,Qu’ils étreignent si goulûmentTelle une sombre passion dévorante,Allant jusqu’à cette obsession incurableDicté sur mesure par l’égo incommensurable.Que la sirène à l’accord lugubre expireAfin de mettre le monde à l’abri du pire,Déjà, la neige fraîche a maquillé la cendreEncore un peu tiède, à l’épreuve des terres,Étirant naïvement sa couleur tendreSur la vaste étendue mortuaire.Les gémissements glaciaux, comme hierSe confondent avec la complainte de la biseDes fils, des frères, des époux, gisentEnserrés chaudement de mots et de prières,Un cri de douleur, un appel solennel amerÀ ostraciser le mal, les libérer de la guerre!
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Commentaires
Bonjour chère Marie,
Superbe poème. Ce serait bien qu'il y ait la paix partout dans le monde !
Passes une bonne journée et un agréable week-end
Gros bisous
Florence
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bonsoir Marie , superbe ton texte poétique j'aime belle semaine A + bisous